La divinisation des imams

Table des matières

Allah n’est adoré que par leur adoration

Ils attribuent ces paroles à leur imam Abou ‘Abdillah : « C’est par notre adoration qu’Allah U est adoré. Sans nous, le Seigneur ne serait pas adoré. »[1]

Les imams sont l’incarnation de la Divinité

Al-Koulayni attribue ces paroles à leur cinquième imam : « Allah nous a mélangés à Lui. »[2] Khomeiny, pour sa part, rapporte ces mots qu’aurait prononcés l’imam Abou ‘Abdillah : « Nous connaissons certains états dans notre relation à Allah au cours desquels nous sommes unis à Allah, si ce n’est qu’Il est ce qu’Il est et que nous sommes ce que nous sommes. »[3] Le même Khomeiny, dont les ouvrages regorgent de paroles idolâtres, ose affirmer : « ‘Ali u est la manifestation suprême d’Allah. »[4]

Les imams sont les attributs d’Allah

Par ailleurs, ils attribuent mensongèrement ces paroles à l’imam Abou ‘Abdillah : « Allah nous a créés de la meilleure manière et nous a donné la forme la plus harmonieuse. Il a fait de nous Son œil qui regarde Ses serviteurs, Sa langue qui s’adresse à Ses créatures, Sa main tendue vers Ses esclaves avec compassion et miséricorde, Son visage par lequel les hommes se rapprochent de Lui, la voie qui mène à Lui et Ses gardiens sur Sa terre et dans Son ciel. »[5]

De même, Al-Majlisi relate ce qui suit au sujet de ‘Ali t : « Alors que le commandeur des croyants u se trouvait sur un nuage, il prononça ces paroles : « Je suis l’œil d’Allah sur Sa terre, Sa langue qui s’adresse à Ses créatures, Sa lumière qui ne s’éteint jamais, la voie qui mène à Lui, et Son argument contre Ses serviteurs…»[6].

Et ils attribuent mensongèrement ces paroles à leur cinquième imam : « Nous sommes les sept versets que l’on répète sans cesse[7] et qu’Allah a accordés à notre prophète Mouhammad. Nous sommes le visage d’Allah, nous allons et venons sur terre parmi vous. Nous sommes l’œil d’Allah parmi Ses serviteurs, Sa main tendue vers Ses esclaves avec miséricorde. Certains nous connaissent tandis que d’autres nous ignorent. »[8]

Les imams sont les noms d’Allah

Leur cheikh Al-Koulayni attribue en effet ces mots à l’imam Abou ‘Abdillah au sujet des paroles d’Allah U : « C’est à Allah qu’appartiennent les noms les plus beaux. Invoquez-Le donc par ces noms ». Il aurait dit : « Par Allah ! Nous sommes les noms les plus beaux d’Allah. Seul celui qui nous connaît verra ses œuvres acceptées. »[9]

Les imams ont des pouvoirs divins

Les imams seront chargés du jugement des hommes

Ils attribuent en effet ces paroles au sixième imam : « C’est Al-Housayn qui sera chargé du jugement des hommes qui aura lieu avant le Jour de la résurrection. Quant au Jour de la résurrection, il verra seulement un groupe être mené au Paradis et un autre conduit en Enfer. »[10]

Pourtant, Allah dit dans son Livre : « C’est à Nous qu’il appartiendra de les juger. »[11]

Les imams rendent licite ou illicite ce qu’ils veulent

Ils attribuent en effet ces paroles au cinquième imam : « Certains pouvoirs furent conférés aux imams : ce qu’ils rendent licite est donc licite et ce qu’ils rendent illicite est illicite. »[12]

Seul celui qui croit en la mission des imams verra ses œuvres acceptées.

Voici ce qu’écrit Khomeiny : « Reconnaître la mission des imams est une condition sans laquelle les œuvres ne sauraient être acceptées. C’est là une réalité incontestable, voire l’un des dogmes que tout chiite se doit de professer. Les textes qui l’établissent ou qui l’indiquent sont d’ailleurs nombreux. »[13]

Seul celui qui croit en la mission des imams entrera au Paradis.

Ils rapportent ces paroles que le Messager d’Allah r aurait adressées à ‘Ali t : « Ces trois sentences sont, je le jure, véridiques : toi et les imams qui te succéderont êtes des vicaires. Seul celui qui vous connaît connaitra réellement Allah, seul celui qui vous connaît et que vous connaissez entrera au Paradis. Seul celui qui vous renie et que vous reniez entrera en Enfer. »[14]

Les imams connaissent l’inconnu

Les chiites attribuent en effet ces paroles à ‘Ali t : « Allah n’a suscité aucun prophète sans que je ne m’acquitte de ses dettes et n’honore ses promesses. Mon Seigneur m’a en effet élu par la science et la victoire qu’Il m’a accordées. Je me suis présenté douze fois à mon Seigneur qui m’a dévoilé Son Être et m’a confié les clés du mystère. »[15]

Ils attribuent également ces paroles à ‘Ali t : « Certains dons, que nul n’a reçus avant moi, me furent accordés : je connais le terme de la vie des hommes, les épreuves à venir, les lignages et les jugements les plus sages. Rien donc de ce qui s’est produit ne m’a échappé et rien de ce qui semble m’avoir échappé de m’a véritablement échappé. »[16]

De même, ils attribuent ces paroles à l’imam Abou ‘Abdillah : « Je connais tout ce qui se trouve dans les cieux et les terres. Je connais ce qui se trouve au Paradis, je connais ce qui se trouve en Enfer. Et je connais les événements passés et futurs. »[17]

Et voici ce qu’écrit l’ayatollah Khomeiny : « Sache que la nuit du Destin se manifeste au Messager d’Allah et aux imams, si bien que tous les mystères du Royaume leur sont dévoilés. Ce dévoilement concerne les plus petites parcelles de la Création, rien n’échappe au dépositaire de l’autorité. Il est d’ailleurs rapporté que les œuvres sont présentées au dépositaire de l’autorité, le Messager d’Allah, et aux imams bien guidés. »[18]

Et ils attribuent ces paroles à Allah I : « Mouhammad ! Sache que ‘Ali est le premier, le dernier, l’apparent, le caché, et qu’il connaît toute chose. » Le Prophète r aurait alors dit : « Seigneur ! N’est-ce pas Toi qui es ainsi ? »[19]

 

Ibn Bâbawayh, leur cheikh de référence, affirme : « Nous croyons que les imams sont infaillibles, qu’ils possèdent tous les attributs de perfection, que leur science embrasse toute chose, et qu’ils ne peuvent, de quelque manière que ce soit, être décrits comme imparfaits, désobéissants ou ignorants. »[20]

Par ailleurs, Al-Koulayni affirment que « les imams savent quand ils mourront et ils ne meurent que quand ils le choisissent »[21]. Pourtant, Al-Majlisi écrit, dans Bihâr al-anwâr, que « tous les imams sont morts soit assassinés, certains empoisonnés »[22] !

Les prophètes vouaient un culte aux imams

Les cheikhs chiites attribuent ces paroles à l’imam Abou ‘Abdillah : « Par Allah ! Adam ne fut digne d’être créé de la Main d’Allah, qui lui a insufflé de Son esprit, que pour avoir reconnu la mission de ‘Ali u. De même, Allah n’a parlé de vive voix à Moïse que parce qu’il a reconnu la mission de ‘Ali u. Et Allah n’a fait de Jésus, fils de Marie, un signe pour les hommes que parce qu’il s’est soumis à ‘Ali u. » Puis, il aurait ajouté : « En résumé, nulle créature ne mérite l’attention d’Allah si ce n’est en raison du culte qu’elle nous voue. »[23]

Et ils attribuent ce récit à leur huitième imam, Ar-Ridâ : « Lorsque Noé fut sur le point d’être noyé, il invoqua Allah par les droits que nous avons sur Lui, si bien qu’Allah le sauva de la noyade. Et quand Abraham fut jeté au bûcher, il invoqua Allah par les droits que nous avons sur Lui, si bien qu’Allah rendit le bûcher frais et inoffensif pour Abraham. Et lorsque Moïse ouvrit une voie dans la mer, il invoqua Allah par les droits que nous avons sur Lui, si bien qu’Allah lui permit de passer à sec. Et lorsque les juifs voulurent tuer Jésus, il invoqua Allah par les droits que nous avons sur Lui, si bien qu’Allah le sauva et l’éleva vers Lui. »[24]

Le pèlerinage vers leurs mausolées

Visiter les tombeaux des imams est une obligation pour tout chiite au point que quiconque délaisse ces pèlerinages a renié la foi ![25]

Celui qui souhaite visiter l’une de leur tombe doit préalablement accomplir un bain rituel – et le renouveler au cas où il perd ses ablutions – leur demander, à l’aide des formules rapportées à ce sujet, l’autorisation d’entrer, puis se tenir debout humblement devant leurs tombes. Il doit s’y rendre avec recueillement et humilité, revêtu d’habits purs et neufs[26]. Le pèlerin peut également tourner autour du tombeau comme on le fait autour de la Ka’bah (Tawâf)[27]. Il doit se tourner en prière en direction du tombeau, même si cela implique de tourner le dos à la Qiblah. Ainsi, Al-Majlisi écrit : « Il est indispensable de se tourner vers la tombe, même si celle-ci ne se trouve pas dans la direction de la Mecque. D’ailleurs, se tourner vers le tombeau revient, pour le pèlerin, à se tourner vers la Qiblah, car l’imam est le visage d’Allah. »[28]

Le visiteur est également invité à se prosterner sur la tombe, comme l’indique cette tradition : « Puis prosterne-toi sur la tombe et dis : Maître ! Je suis venu à toi rempli de crainte, alors apaise ma peur, implorant ta protection, alors protège-moi, pauvre, alors place-moi au-dessus du besoin. »[29]

 

Le pèlerin se tourne vers la tombe, le dos tourné à la Qiblah, et accomplir obligatoirement deux unités de prière dans cette position[30]. Ils rapportent pourtant ces paroles que l’imam Abou ‘Abdillah tiendrait de son père : « Le Messager d’Allah a défendu de prier sur les tombes, de s’asseoir dessus, de s’adosser à elles et de construire par-dessus. »[31]

Celui qui visite la tombe de ‘Ali t sera au même rang que le Prophète r le Jour de la résurrection. Ils attribuent en effet ces paroles au Messager d’Allah r : « Ali ! Que celui qui me rend visite de mon vivant ou après ma mort, ou bien te rend visite de ton vivant ou après ta mort, ou encore rend visite à tes deux fils de leur vivant ou après leur mort, sache que je m’engage à le préserver des affres du Jour de la résurrection et à l’élever au rang qui sera le mien. »[32]

Le rang particulier du tombeau d’Al-Housayn

Leur troisième imam, Al-Housayn t, occupe sans aucun doute un rang particulier parmi les imams chiites, en raison probablement de sa passion et de sa fin tragique. Les chiites ressemblent en cela aux chrétiens qui ont fait de la passion de Jésus un élément central de la christologie. La vénération particulière dont Al-Housayn fait l’objet s’explique aussi par son mariage avec Shahr Banû, la fille du dernier empereur perse Yazdgard III. C’est d’ailleurs leur fils Zayd Al-‘Abidin, qui sera désigné comme quatrième imam par les chiites. Tous les imams après Al-Housayn ont donc du sang perse. On sait que le chiisme a été créé par des perses dont le nationalisme a déjà été évoqué.

Al-Koulayni rapporte ainsi qu’un homme se présenta à l’imam Abou ‘Abdillah et lui dit : « J’ai accompli dix-neuf pèlerinages à la Mecque. Implore donc Allah de me faire la grâce d’en effectuer un vingtième. » Il dit : « As-tu visité la tombe d’Al-Housayn ? » « Non », répondit l’homme. Il dit : « Pourtant la visite de sa tombe vaut mieux que vingt pèlerinages. »[33] !

Ils prétendant de même que la visite d’Al-Housayn équivaut à « un million de pèlerinages avec l’imam de la Résurrection u et un million de ‘Oumrah avec le Messager d’Allah »[34] et, selon une autre version, que cette visite offre « une récompense équivalente à celle de cent mille martyrs de Badr »[35] !

Puis ils aggravèrent leur mensonge, prétendant que cette visite équivalait non plus à un million mais « deux millions de pèlerinages, deux millions de ‘Oumrah, deux millions d’expéditions militaires, chaque pèlerinage, chaque ‘Oumrah et chaque expédition militaire accomplis avec le Messager d’Allah et avec les imams bien-guidés. »[36]

Puis ils dépassèrent toutes les limites du raisonnable en attribuant mensongèrement ces paroles à leur huitième imam Ar-Ridâ : « Quiconque visite le tombeau d’Abou ‘Abdillah u sur les bords de l’Euphrate est à l’image de celui qui visite Allah sur Son Trône. »[37]

Ils prétendent que « la terre et l’argile du tombeau d’Al-Housayn u constitue le remède à toutes les maux »[38] et rapportent ces paroles de l’un de leurs imams : « Allah a fait de la terre qui entoure le tombeau de mon aïeul Al-Housayn u le remède à tous les maux et une protection contre toute peur. »[39]

Quant à l’ayatollah Khomeiny, il ose affirmer ce qui suit : « L’avis le plus sûr est que l’argile d’aucune autre tombe, pas même celle du Prophète, n’est comparable à la sienne. »[40]

L’invocation des imams

Ils s’adressent ainsi à celui qui visite le tombeau d’Al-Housayn : « Lorsque tu te présentes à la porte, reste à l’extérieur du tombeau, regarde humblement en direction de la tombe, et prononce ces mots : Ô maître ! Ô Abou ‘Abdillah ! Ô descendant du Messager d’Allah ! Ton serviteur, le fils de ton serviteur et de ta servante, s’est présenté à toi en toute soumission, conscient de ses manquements envers toi et reconnaissant tes droits, à la recherche de ta protection, en quête de ta terre sacrée. »[41]

Leur guide suprême, Khomeiny, écrit : « Il convient d’implorer l’intercession des Messagers et des imams infaillibles : le samedi est réservé au Messager d’Allah, le dimanche au commandeur des croyants, le lundi à Al-Hasan et Al-Housayn, le mardi à trois d’entre eux : Zayn Al-‘Âbidîn, Al-Bâqir et As-Sâdiq, le mercredi à Al-Kâdhim, Ar-Ridâ, Al-Jawâd et Al-Hâdi, le jeudi à Al-‘Askari et le vendredi au Mahdi, qu’Allah accélère son retour. »[42]

Il est permis, selon eux, d’invoquer un autre qu’Allah le Très Haut, mais à condition de ne pas croire que celui qui est ainsi invoqué est un dieu ! L’ayatollah Khomeiny écrit en effet : « Le Chirk consiste à diriger ses prières vers un autre que le Seigneur de l’univers tout en considérant celui qui est invoqué comme une divinité. Sinon, il ne s’agit pas de Chirk, que celui qui est ainsi sollicité soit vivant ou mort. Par conséquent, celui qui dirige ses prières vers une pierre ou un rocher n’est pas tombé dans l’idolâtrie. »[43]

Quelle différence y a-t-il entre ce culte idolâtre décrit ici par Khomeiny et le culte que les païens de la Mecque rendaient aux statues, aux pierres ou aux arbres ?!

 

Conclusion

 

Le musulman peut se demander pourquoi tant d’idolâtrie dans le chiisme alors que celle-ci est condamnée clairement dans de multiples passages du Coran. La réponse est évidemment à chercher dans la croyance chiite en la falsification du Coran, mais aussi dans l’interprétation qu’ils font de ces passages coraniques qui réprouvent le polythéisme. En effet, selon eux, le terme Chirk et ses dérivés, dans le texte coranique, sont tous appliqués « à quiconque ne croit pas en la mission du commandeur des croyants u, et des imams parmi ses descendants, et fait passer d’autres hommes avant eux »[44]. Ainsi, selon les imamites, les paroles : « Il t’a été révélé, de même qu’à ceux qui vécurent avant toi : « Si tu t’adonnes au polythéisme, tes œuvres seront réduites à néant et tu seras du nombre des perdants. », signifient en réalité : « Si tu associes d’autres hommes à la mission des imams, tes œuvres seront réduites à néant. »[45]

Al-Majlisi écrit donc : « En résumé, si les versets relatifs au Chirk concernent apparemment le culte voué aux idoles, ils se rapportent en réalité aux califes iniques que les hommes ont associés à la mission des véritables imams et qu’ils ont désignés à leur place. Par exemple, les paroles d’Allah, gloire à Lui : « Avez-vous donc considéré Al-Lât et Al-‘Ouzzâ, et Manât, cette troisième idole » doivent en réalité être interprétées ainsi : Al-Lât est le premier calife, Al-‘Ouzzâ, le second et Manât, le troisième. »[46]



[1] Al-kâfi (1/138), chapitre : Les imams sont les représentants d’Allah et les dépositaires de sa science.

[2] Ibidem (1/329).

[3] Misbâh al-hidâyah (p. 114), de Khomeiny.

[4] Ahl al-bayt fi fikr al-imâm al-khoumayni (p. 17).

[5] Al-kâfi (1/103).

[6] Bihâr al-anwâr (27/34).

[7] Allusion à ce verset de la sourate Al-Hijr : « Nous t’avons donné les sept versets que l’on répète et le Coran sublime », c’est-à-dire, explique la plupart des exégètes, les sept versets qui composent la sourate Al-Fâtihah.

[8] Al-kâfi (1/103).

[9] Ibidem (1/103).

[10] Bihâr al-anwâr (53/43).

[11] Sourate Al-Ghâchiyah, verset 26.

[12] Bihâr al-anwâr (25/333).

[13] Ahl al-bayt fi fikr al-imâm al-khoumayni (p. 38).

[14] Bihâr al-anwâr (23/99).

[15] Ibidem (39/350).

[16] Al-kâfi (1/141-142), chapitre : Les imams sont les piliers de la terre.

[17] Bihâr al-anwâr (26/111), chapitre : Rien de la science des cieux et de la terre ne leur échappe.

[18] Al-âdâb al-ma’nawiyyah li as-salât (p. 512), de Khomeiny.

[19] Bihâr al-anwâr (18/377).

[20] Ibidem (11/72), chapitre : L’infaillibilité des prophètes.

[21] Al-kâfi (1/186-188).

[22] Bihâr al-anwâr (43/364).

[23] Ibidem (26/294), chapitre : Leur supériorité par rapport aux prophètes et toute la Création.

[24] Ibidem (26/325), chapitre : L’invocation des prophètes fut exaucée par leur intermédiaire et leur intercession.

[25] Tahdhîb al-ahkâm (6/1306).

[26] Bihâr al-anwâr (97/124-139), chapitre : Les règles à observer lors de la visite.

[27] Ibidem (97/126), chapitre : Les règles à observer lors de la visite.

[28] Ibidem (101/369), chapitre : La visite de sa tombe et des autres imams.

[29] Ibidem (98/253), chapitre : Lui rendre visite la nuit qui précède la fête du sacrifice.

[30] Ibidem (97/128), chapitre : Les règles à observer lors de la visite.

[31] Tahdhîb al-ahkâm (3/693).

[32] Man lâ yahdourouhou al-faqîh (2/405).

[33] Al-kâfi (4/764), chapitre : Le mérite de visiter la tombe d’Al-Housayn.

[34] Tahdhîb al-ahkâm (6/1325).

[35] Bihâr al-anwâr (98/17).

[36] Ibidem (98/290), chapitre : Comment lui rendre visite le jour de ‘Âchourâ’.

[37] Ibidem (98/69-70).

[38] Ibidem (98/118-138).

[39] Ibidem (98/119).

[40] Tahrîr al-wasîlah (2/153), de Khomeiny.

[41] Bihâr al-anwâr (98/253), chapitre : Lui rendre visite la nuit qui précède la fête du sacrifice.

[42] Al-âdâb al-ma’nawiyyah li as-salâh (p. 569-570), de Khomeiny.

[43] Kachf al-asrâr (p. 49), de Khomeiny.

[44] Bihâr al-anwâr (23/390).

[45] Al-kâfi (1/323).

[46] Bihâr al-anwâr (48/96).