Le coran corrige la bible

Table des matières

Nous t’avons révélé le Livre de vérité qui vient confirmer les Ecritures qui l’ont précédé, en établir l’authenticité et prévaloir sur elles (Coran 5, 48)

  1. Il corrige les erreurs historiques de la Bible

– Les hôtes d’Abraham ont-ils touché au repas ?

Voici le récit des hôtes d’Abraham tel qu’il est relaté dans la Bible, puis dans le Coran : « Il leva les yeux, et regarda : et voici, trois hommes étaient debout près de lui. Quand il les vit, il courut au-devant d’eux, depuis l’entrée de sa tente, et se prosterna en terre. Et il dit : Seigneur, si j’ai trouvé grâce à tes yeux, ne passe point, je te prie, loin de ton serviteur. Permettez qu’on apporte un peu d’eau, pour vous laver les pieds ; et reposez-vous sous cet arbre. J’irai prendre un morceau de pain, pour fortifier votre cœur ; après quoi, vous continuerez votre route ; car c’est pour cela que vous passez près de votre serviteur. Ils répondirent : Fais comme tu l’as dit. Abraham alla promptement dans sa tente vers Sara, et il dit : Vite, trois mesures de fleur de farine, pétris, et fais des gâteaux. Et Abraham courut à son troupeau, prit un veau tendre et bon, et le donna à un serviteur, qui se hâta de l’apprêter. Il prit encore de la crème et du lait, avec le veau qu’on avait apprêté, et il les mit devant eux. Il se tint lui-même à leurs côtés, sous l’arbre. Et ils mangèrent. »[1] Voici le même récit dans le Coran : « Nos messagers ont apporté à Abraham l’heureuse nouvelle. A leur arrivée, ils le saluèrent : “La paix soit avec toi !” “La paix soit avec vous”, répondit-il. Puis il leur servit sans tarder un veau rôti. Voyant que ses invités ne touchaient pas au repas, il commença à avoir peur. »[2]

Deux différences sautent aux yeux à la lecture de ces deux récits. La première concerne le nombre et la nature de ces personnages auxquels Abraham accorde l’hospitalité et la seconde, leur réaction face au repas qui leur est servi. Dans la Bible, ils sont décrits comme trois hommes, mais Abraham se prosterne devant eux, puis les interpelle en disant : « Seigneur, si j’ai trouvé grâce à tes yeux », comme s’il s’adressait à une seule personne. L’histoire se complique au tout début du chapitre suivant où l’on apprend qu’ils ne sont plus que deux et que ce sont des anges[3]. Des questions se posent ici : Abraham a-t-il reçu la visite d’un, de deux ou de trois personnages ? Comment le grand patriarche a-t-il pu se prosterner devant des hommes ou même des anges ? Comment ceux qui, de toute évidence, étaient des anges, ont-ils pu manger du repas qu’Abraham leur a servi ? Le Coran lève ces contradictions et répond à ces invraisemblances en présentant très simplement ces visiteurs comme des « messagers » de Dieu, c’est-à-dire, des anges dont le nombre n’est pas précisé. En revanche, le récit coranique précise très logiquement que les anges ne touchent pas au repas.

Voici, au sujet de ce récit, le commentaire de Geneviève Gobillot, professeur d’Histoire de la pensée arabo-musulmane à l’Université Lyon 3 : « Dans le texte de la Torah, lorsque les messagers sont arrivés auprès d’Abraham, Abraham a sacrifié un veau et ils ont mangé. La question a été alors soulevée par de nombreux rabbins de se dire : “Est-ce que ces messagers pouvaient être des anges ? Qui étaient ces messagers ? Ils ont mangé”. Petit à petit, avec le temps, on en est arrivé à l’idée que cela ne pouvait être que des anges, mais c’était très embêtant. Donc un apocryphe, comme par exemple le Testament d’Abraham, a essayé de résoudre la question en disant : “Ces anges étaient très ennuyés lorsque Abraham leur a apporté ce veau et ont dit à Dieu : Mais qu’est-ce qu’on doit faire ? Abraham nous apporte un veau, vous savez bien que nous ne pouvons pas manger, nous sommes des purs esprits. Donc qu’allons-nous faire ? Et Dieu leur dit : Ne vous en faites pas ! Vous allez toucher la nourriture de vos mains et au moment où vous la toucherez, je vais envoyer un esprit mangeur qui va faire disparaître le veau”. Et après, encore plus miraculeusement, Sarah va voir le veau qui va revivre. Là, on a toute une thématique sur la question de la viande tuée des animaux, etc., puisque après, le veau va aller téter sa mère. Mais le problème, dans le Testament d’Abraham, c’est qu’il dit : “Vous toucherez la viande et elle disparaîtra”. Mais le Coran a une logique ; il y a une logique très absolue dans le Coran, qui fait que cela ne peut pas marcher : si ces gens n’ont pas de corps, si ce sont vraiment des anges, ils ne pourront pas davantage toucher la nourriture que la manger. Donc le Coran est très clair : ils ne l’ont pas touchée, ils ne l’ont pas mangée. Voilà le genre de rectifications, d’abrogations très fines, mais qui conduisent beaucoup plus loin. »[4]

– Roi d’Egypte ou Pharaon ?

Dans le récit biblique de Joseph, le souverain d’Egypte porte le titre de « Pharaon », tandis qu’il est appelé « roi » dans le même récit du Coran. En voici un extrait tiré de la Bible : « Et Pharaon s’éveilla. Il se rendormit, et il eut un second songe. Voici, sept épis gras et beaux montèrent sur une même tige. Et sept épis maigres et brûlés par le vent d’orient poussèrent après eux. »[5] Et le même extrait, tiré du Coran : « Le roi dit : J’ai vu en rêve sept vaches grasses dévorées par sept vaches décharnées, mais aussi sept épis verts et sept autres desséchés. »[6] Or, la plupart des commentateurs situent la présence de Joseph en Egypte sous le règne des Hyksos[7], populations asiatiques qui ont investi le delta du Nil et pris le pouvoir dans cette région. Envahisseurs étrangers, les Hyksos étaient dirigés par des rois, et non des pharaons, titres portés par les souverains égyptiens. En tout, six de ces rois étrangers auraient régné sur une partie de l’Egypte un peu plus d’un siècle avant d’être chassés par les princes égyptiens du sud. Marquant clairement la différence entre les « rois » Hyksos et les « pharaons » égyptiens, l’égyptologue français Pierre Montet écrit dans L’Egypte et la Bible, au sujet de Joseph : « Sa mort s’est produite après qu’Ahmose eut chassé les Hyksos d’Avaris et de toute l’Egypte en 1580. Ainsi la carrière de Joseph a coïncidé avec les derniers rois hyksos et les premiers Pharaons de la XVIIIe dynastie. »[8]

Voici à présent un extrait de l’article de l’Encyclopædia Universalis consacré à ces populations :

L’Hyksôs est le nom donné par l’historien égyptien Manéthon (IIIe s. av. J.-C.) aux envahisseurs asiatiques qui dominèrent l’Egypte de 1730 environ à 1560 avant J.-C. Flavius Josèphe, historien juif du Ier siècle de notre ère, nous a conservé les passages où Manéthon mentionne l’invasion des Hyksôs. « A l’improviste, des hommes d’une race inconnue venue de l’Orient eurent l’audace d’envahir notre pays [l’Egypte], et sans difficulté ni combat s’en emparèrent de vive force. On nommait tout ce peuple hyksôs, ce qui signifie « rois-pasteurs ». Car hyk dans la langue sacrée signifie « roi » et sôs dans la langue vulgaire veut dire « pasteur ». »

D’autres commentateurs traduisent le terme « Hyksos » par « rois étrangers ». Quoi qu’il en soit, l’on remarque que l’étymologie même du terme Hyksos les désigne comme des rois et non comme des pharaons. Le professeur J. Vercoutter commente cette erreur historique de la Bible : « Mentionner “Pharaon” du temps de Joseph est aussi anachronique que serait l’utilisation du mot “Elysée” pour désigner le roi de France au temps de Louis XIV. »[9]

En revanche, dans le récit de Moïse, le Coran, en accord avec les données historiques, donne très justement le titre de Pharaon au souverain qui règne à cette époque, probablement Ramsès II. Dieu dit dans le Coran : « Nous allons te relater, en toute vérité, une partie de l’histoire de Moïse et de Pharaon. »[10]

– Combien d’Hébreux ont participé à l’Exode ?

La Bible avance un chiffre pharamineux d’Hébreux ayant suivi Moïse lors de la sortie d’Egypte : « Les enfants d’Israël partirent de Ramsès pour Succoth au nombre d’environ six cent mille hommes de pied, sans les enfants. »[11]

La Genèse précise avant cela le nombre d’Hébreux qui accompagnèrent Jacob en Egypte : « Les personnes qui vinrent avec Jacob en Egypte, et qui étaient issues de lui, étaient au nombre de soixante-six en tout, sans compter les femmes des fils de Jacob. »[12] Or, on estime la durée du séjour des Hébreux en Egypte entre leur arrivée à l’époque de Joseph et leur sortie avec Moïse à quelque trois ou quatre cents ans. Comment la famille de Jacob a-t-elle pu se multiplier dans ces proportions pour atteindre, sur cette période, des centaines de milliers, voire des millions d’individus ?!

André-Marie Gérard ne peut qu’admettre dans son Dictionnaire de la Bible : « Il faut bien tenir pour propos de style épique l’évaluation des « fils d’Israël » engagés dans la sainte aventure : « 600 000 hommes » en état de faire campagne, selon l’auteur du document sacerdotal. Ce qui supposerait, en comptant les femmes, les enfants, les vieillards et la masse des opprimés de toutes origines qui profitèrent de l’occasion pour échapper avec eux à leurs misères, que deux à trois millions de personnes auraient alors quitté l’Egypte à la suite de Moïse ; soit plus de la moitié de la population du pays selon les estimations les plus généreuses : de quoi constituer, par rangs de dix, sans troupeaux, ni montures, ni bagages, une colonne dont la tête aurait atteint la pointe méridionale du Sinaï avant que l’arrière-garde ait franchi la mer Rouge. »[13]

Le Coran, pour sa part, attribue ces mots à Pharaon qui décrit le nombre insignifiant d’Hébreux qui ont fui : « Nous avons révélé à Moïse de quitter le pays à la faveur de la nuit avec mes serviteurs et qu’ils seraient poursuivis. Pharaon dépêcha en effet, à travers le pays, des hommes chargés de lever une armée. Il dit : “Ces individus ne constituent qu’un groupe insignifiant”. »[14]

– Le miracle de la main blanche

Selon la Bible, lorsque Moïse mit sa main dans son sein et la retira, celle-ci « était couverte de lèpre, blanche comme la neige »[15] ce que le Coran dément clairement par ces mots : « Introduis ta main dans le col de ta tunique, elle en ressortira toute blanche, sans que cette couleur soit due à la maladie. »[16] On est en droit de douter de l’authenticité de ce miracle qui, dans la Bible, consiste à couvrir la main de Moïse de lèpre !

  1. Il corrige les erreurs scientifiques de la Bible

– Le ciel est-il soutenu par des piliers ?

L’Ancien Testament indique que le ciel est soutenu par des piliers : « Les colonnes du ciel s’ébranlent »[17], texte auquel ce verset coranique semble répondre : « Il a créé les cieux sans piliers que vous puissiez observer. »[18]

– La terre est-elle ronde ou plate ?

Ce verset coranique indique que la terre est ronde : « Il couvre le jour de l’obscurité de la nuit et celle-ci de la lumière du jour, dans une ronde incessante. Il a soumis le soleil et la lune à des lois, l’un et l’autre poursuivant leur course jusqu’à un terme préétabli. »[19] Le verbe arabe (kaouara) utilisé ici pour décrire la manière dont l’obscurité de la nuit couvre la lumière du jour signifie à la base : « tourner sur soi-même », comme le ballon (koura), ou « enrouler », comme le turban sur la tête. L’image est révélatrice de la manière dont les différentes régions de la terre, celle-ci tournant sans cesse sur elle-même, sont successivement éclairées par le soleil dans une ronde incessante. Maurice Bucaille nous décrit ce phénomène : « Le Soleil éclaire en permanence (éclipses exceptées) la demi-sphère terrestre placée en regard de lui tandis que l’autre demi-sphère reste dans l’obscurité. La Terre tournant sur elle-même alors que l’éclairage reste fixe, une zone éclairée en forme de demi-sphère fait en vingt-quatre heures sa rotation autour de la Terre, tandis que la demi-sphère restée dans l’obscurité accomplit durant le même temps le même périple. Cette ronde incessante du jour et de la nuit est parfaitement décrite par le Coran. Elle est aisément accessible de nos jours à la compréhension humaine puisque nous avons la notion de la fixité (relative) du Soleil et de la rotation de la Terre. Ce processus d’enroulement permanent avec pénétration continuelle d’un secteur par l’autre est exprimé dans le Coran, comme si l’on avait conçu à l’époque la rotondité de la Terre, ce qui n’est évidemment pas le cas. »[20]

Notons qu’à l’époque de la révélation coranique, de nombreuses civilisations pensaient encore que la terre était plate et ne pouvaient imaginer que le globe terrestre tournait sur lui-même. Il faut attendre le 16ème siècle et l’expédition de Magellan, qui boucle de 1519 à 1522 le premier tour du monde, pour que la sphéricité de la terre, jusque-là connue seulement de quelques lettrés, devienne une réalité communément admise. L’Ancien Testament[21], comme le Nouveau[22], supposent pour leur part que la terre est plate.

– Dieu doit-il se reposer ?

Ce passage du récit de la Création proposé par la Bible prétend que Dieu s’est reposé le septième jour de la Création : « Dieu acheva au septième jour son œuvre, qu’il avait faite : et il se reposa au septième jour »[23], idée qui est explicitement rejetée par le Coran dans ce verset : « Nous avons, en vérité, créé les cieux, la terre et ce qui se trouve entre eux, en six jours sans éprouver la moindre peine. »[24]

  1. Il corrige les erreurs dogmatiques de la Bible

Ce sujet sera abordé en détail dans les trois dernières parties de cet ouvrage consacré au credo chrétien.

Mentionnons tout de même ici ces paroles attribuées par Dieu à Jésus dans la sourate Mariam : « Dieu a fait de moi un fils pieux envers sa mère, ni violent envers les hommes, ni désobéissant »[25] qui semblent être une réponse à la manière parfois négative dont les Évangiles décrivent le Christ. En effet, les évangélistes accusent Jésus d’avoir renié sa propre mère, la sainte Marie, coupable de ne pas avoir écouté la parole de Dieu : « On lui dit : Ta mère et tes frères sont dehors, et ils désirent te voir. Mais il répondit : Ma mère et mes frères, ce sont ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui la mettent en pratique. »[26]

Ce genre de paroles n’a pas empêché les chrétiens d’élever Marie au rang de divinité, et même de « mère de Dieu ». Entre les Évangiles qui rabaissent Marie et les chrétiens qui la glorifient, le Coran adopte ici, comme ailleurs, la voie du juste milieu. Le Très Haut dit : « Les anges dirent : Marie ! En vérité, Dieu t’a élue, purifiée et préférée à toutes les femmes de l’univers. Marie ! Dévoue-toi humblement à ton Seigneur, prosterne-toi et sois du nombre de ceux qui s’inclinent en prière […] Les anges dirent : Marie ! Dieu t’annonce la naissance d’un fils né d’un verbe émanant de Lui, qui aura pour nom le Messie, Jésus fils de Marie, honoré ici-bas et dans l’au-delà, et du nombre des plus proches élus du Seigneur. »[27]

Marie occupe une place toute particulière dans le cœur des musulmans et dans le livre des musulmans. Son nom est en effet le seul nom féminin apparaissant dans le Coran où il n’est fait mention ni de la mère, ni des épouses, ni des filles du prophète de l’islam. En outre une sourate porte son nom, la dix-neuvième du Coran.

Quant aux paroles : « ni violent envers les hommes », elles semblent répondre à la description de Jésus dans les Évangiles, présenté parfois comme un homme d’une grande dureté dans ses paroles – n’hésitant pas à insulter ses propres fidèles, comme ceux venus en foule pour être baptisés par lui, auxquels il aurait lancé : « Races de vipères »[28] – ou dans ses actes : « Ayant fait un fouet avec des cordes, il les chassa tous du temple, ainsi que les brebis et les bœufs ; il dispersa la monnaie des changeurs, et renversa les tables. »[29]

Si le Coran corrige la vision parfois négative que donne la Bible de certains prophètes – comme nous l’avons vu pour Jésus – il corrige également les descriptions parfois blasphématoires, et en tout cas anthropomorphiques, du Seigneur. Ainsi, ce passage coranique : « Dieu ! Il n’est de divinité digne d’être adorée que Lui, le Dieu Vivant et Eternel. Il n’est gagné ni par le sommeil, ni même par la somnolence »[30] semble une réponse à ce passage de la Bible : « Le Seigneur s’éveilla comme celui qui a dormi, comme un héros qu’a subjugué le vin. »[31] De même, ce passage biblique : « Jusqu’à quand, Éternel, m’oublieras-tu sans cesse ? »[32] est contredit par ce verset coranique : « Mon Seigneur n’est sujet ni à l’oubli, ni à l’erreur. »[33]

Et alors que la Bible décrit Dieu en train de faire la guerre au milieu des hommes sur terre, comme dans ce verset : « L’Eternel allait devant eux, le jour dans une colonne de nuée pour les guider dans leur chemin, et la nuit dans une colonne de feu pour les éclairer »[34], le Coran indique clairement que Dieu est au ciel, comme dans ce verset : « Etes-vous si sûrs que Celui qui est au ciel ne fera pas trembler et crouler la terre sous vos pieds ? »[35]

  1. Genèse 18, 2-8.
  2. Coran 11, 69-70.
  3. Genèse 19, 1.
  4. Intervention intitulée « Le Coran, guide de lecture des Ecritures » de Geneviève Gobillot au colloque « Quelle sagesse pour notre temps », organisé par la Fondation Ostad Elahi, L’Harmattan, 2015.
  5. Genèse 41, 4-6.
  6. Coran 12, 43.
  7. Voir Dictionnaire de la Bible, André-Marie Gérard, p. 1090 et Dictionnaire Vigouroux (tome 3, deuxième partie, p. 1657) où il est écrit : « On peut affirmer avec certitude que Joseph arriva en Egypte du temps des rois Hyksos, XVe dynastie. » Plusieurs éléments appuient l’hypothèse de l’arrivée de Joseph en Egypte à l’époque des Hyksos. Tout d’abord, la nomination d’un ministre sémitique à la cour d’Egypte est moins inconcevable sous un régime d’occupation étrangère d’origine proche-orientale. Ensuite, l’absence d’archives égyptiennes mentionnant un vice-roi nommé Joseph peut s’expliquer par le manque d’informations disponibles sur cette période, censurées par les successeurs et ennemis des Hyksos.
  8. L’Egypte et la Bible, Pierre Montet, Cahiers d’archéologie biblique n°11, éditions Delachaux & Niestlé, Neuchâtel (Suisse), 1959, p. 21.
  9. Encyclopædia Universalis, édition 1973, vol. 12, p. 915.
  10. Coran 28, 3.
  11. Exode 12, 37.
  12. Genèse 46, 26.
  13. Dictionnaire de la Bible, p. 372.
  14. Coran 26, 52-54.
  15. Exode 4, 6.
  16. Coran 28, 32.
  17. Job 26, 11.
  18. Coran 31, 10.
  19. Coran 39, 5.
  20. La Bible, le Coran et la science. Les Ecritures saintes examinées à la lumière des connaissances modernes, Maurice Bucaille, éditions Seghers, Paris, 1976, p. 165.
  21. Jérémie 16, 19.
  22. Apocalypse 7, 1.
  23. Genèse 2, 2.
  24. Coran 50, 38.
  25. Coran 19, 32.
  26. Luc 8, 21.
  27. Coran 3, 42-45.
  28. Luc 3, 7.
  29. Jean 2, 14-15.
  30. Coran 2, 255.
  31. Psaumes 78, 65.
  32. Psaumes 13, 2.
  33. Coran 20, 52.
  34. Exode 13, 21.
  35. Coran 67, 16.